::Un petit coin de banquise::

Ce soir, on joue la suite et la fin de pathfinder (dont je vous ai parlé il y a quelque temps, la campagne à Donjon). J'espère que mes PJ ont mangé du lion au ptit dèj, parce que sérieux, ils vont en suer... Ah ils voulaient du donjon ? Ils vont être servis ^_^

Je vous donnerai nos retours après le scénar ^^

Navrée, je suis un peu à la ramasse en ce moment...

De nouveaux personnages du miroir du Risèd crobardés ce WE. Il y en certains que je referai sûrement, ils ont quelques problèmes. Les colos suivront également.

En ce moment, il y a la foire à Nancy.

Ca tombe bien, l'agence est juste à côté. Tellement près que l'après-midi, on entend les gens crier sur les manèges à sensations fortes. Hormis les attractions et jeux stupides destinés à te faire cracher ton flouze, il y a un truc trop cool à la foire.
Il y a le stand de churros. *o* Ca, ça déchire son macareux. Et j'ai eu l'agréable surprise cette semaine d'apprendre que mes collègues ont la carte de fidélité. Evidemment. C'est une agence à écrasante majorité féminine. Donc à écrasante majorité gourmande (mon bizutage ayant consisté en la confection d'un brownie ce matin tout chaud pour petit déjeuner ensemble, histoire de bien situer les choses).

Or donc, l'une des employées (appelons la A. pour plus de commodité) part sur chantier loin à l'autre bout de la France le mardi et ne revient que ce matin. Forcément, c'est le jour de son absence que nous avons envoyé l'un d'entre nous en mission commando churros pour l'agence. Et c'est là qu'on voit la finesse du sens de l'observation d'un architecte. Car il n'a pas fallu deux secondes à son retour dans l'agence à A. pour remarquer la carte de fidélité posée sur le bureau de la secrétaire.

- Quoiiiiii ? Vous êtes allés aux churros quand j'étais pas là ?! Vous me le payerez !

S'en est suivie une scène tout à fait pathétique qui m'a faite mourir de rire et a entrainé moult promesses qui ne seront sans doute pas tenues. Mais qu'importe, on a au moins une bonne excuse pour retourner aux churros !

Pour vous montrer un peu ce sur quoi je bosse en ce moment : la réhabilitation du centre ville de Montreuil. Pour l'instant, je m'occupe de gérer le travail de détail sur les rampes et les garde corps, avec les détails de construction et de mise en œuvre. Deux trois pers et quelques photos de la maquette sur laquelle j'ai bossé en début de semaine.

J'ai voulu faire une note dessinée, mais je me suis dit, "Light, ne vends pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué". Donc, je n'ai pas anticipé. Dans le doute. Je ne suis pas superstitieuse, mais. On a tellement galéré que je ne voulais pas tenter le diable...

Nyyyyaaaaaa internet à la maison ! *bave, bave* Enfinnnnnnnn ! Nyaaaaaaa le téléphoooooooneeeeeeeeuh !

'tain, j'y croyais tellement plus que je gagatise. C'est foutu.

Merci Saint patron des Macareux, je savais que tu entendrais mes prières !

Hum. Le temps que je poste le précédent billet (avec notre cher ami "Le Jeune"), le coup de fil tant attendu est arrivé. L'agence d'archi qui m'avait recontactée vient de m'appeler.
Ils sont d'accord pour les conditions que j'ai posées. Même salaire et tout. Bon.
Maintenant, faut que je prenne mon courage à deux mains et que j'aille voir mon patron. Pour lui dire que je démissionne. Et que je pose mes congés pour raccourcir le préavis légal qui est de deux semaines.
Arf. Ca me fait drôle. J'ai très envie de travailler dans l'autre agence, mais je culpabilise de me sauver comme ça. Même si je me dis que quelque part, il y a même des chances pour que ça l'arrange en plus, mon patron. Mais c'est pas évident.
Si ça se trouve, lundi, je ne suis plus ici. S'il est d'accord bien sûr, pour les congés. Rholala, j'ai encore du mal à y croire. Et j'ai trop le trac d'aller voir mon patron, là, tout de suite, et de lui dire "Euh, on peut se voir deux minutes ?"... Gniiiiiiii.

(les lecteurs attentifs en auront déduit que la bonne nouvelle évoquée au post précédent ne concerne donc pas le boulot. Si je vous dit Dallas, ça vous aide ?)